La Basket de Cendrillon

Notre adaptation 2024 du conte ancestral va dire la même chose que dans notre version de 1992, mais «autrement». Elle a été guidée par une dynamique de réappropriation et d’invention plutôt que par un simple souci d’actualisation.

Dès 6 ans

Notre adaptation 2024 du conte ancestral va dire la même chose que dans notre version de 1992, mais «autrement». Elle a été guidée par une dynamique de réappropriation et d’invention plutôt que par un simple souci d’actualisation. 

Quand la maison familiale se transforme en bistrot, 
Cendrillon est une serveuse exploitée et sa belle-mère est une patronne «peau de vache». 
Ses deux filles sont des nunuches aussi bêtes que méchantes. 
Quand le palais royal se transforme en terrain vague, le prince musicien est chef de bande et ses potes, les gens de la cour, ont pris leur guitare. 

Et quand ça bouge c’est pas de la valse, c’est du rock, du rap, du pop. 
Quand la fée hallucine et oublie ses formules, alors là, tout est possible. 

La pantoufle devient basket et l’existence de Cendrillon va...chut ! 

Il n’y a plus rien à dire 
C’est à voir et à sentir. 
Ça se danse et ça voyage. 

Il était une fois un coup de foudre ! 

Texte 

Première version : Nathalie Jaggi 
Réécriture pour version 2024 : Evelyne Castellino 

Interprètes 

Bastien Blanchard 
Florestan Blanchon 
Clara Brancorsini 
Maud Faucherre 
Annaïk Juan Torres 
Verena Lopes 
Katia Ritz 
Lucien Thévenoz 
Matthieu Wenger 

Mise en scène, dramaturgie 

Evelyne Castellino avec la participation des interprètes 

Assistante 
Verena Lopes 

Chorégraphie 
Edouard Hue et Evelyne Castellino

Scénographie 
Cornélius Spaeter 

Vidéo - Films et régies 
Francesco Cesalli 

Lumière et régies 
Michel Faure 

Musiciens en scène 
Bastien Blanchard, Florestan Blanchon, Lucien Thévenoz 

Univers sonore et régies 
Graham Broomfield 

Costumes et accessoires 
Spooky Dolls Surgery 

Administration 
Philippe Clerc 

Relation presse 
Audrey Croisier 

Graphisme affiche/dossier 
Evelyne Castellino 

Photographe 
Pierre-André Fragnière